27 Juin 2014
Un article sur ce sujet dans Marianne paru aujourd'hui. L'auteur détaille l'entourage du micro-parti de Marine le Pen, qui gère la cagnotte que celle-ci se constitue.
On retrouve à tous les niveaux des anciens du GUD, syndicat étudiant d'extrême-droite ; de la FANE (Fédération d'action nationale et européenne, parti d'extrême-droite dissous) ; des patrons de boites de sécurité. Florian Philippot est au milieu de ces personnages, cohabitant apparemment sans problème.
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Le FN n'a pas désavoué le maire du Pontet, membre de ce parti, qui vient de supprimer la gratuité des crèches pour les enfants de pauvres fainéants. Celui de Villes-Cotterêts, bon prince, n'a supprimé que les deux plus bas tarifs (après s'être augmenté de 14%.
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Pour ceux qui ont cru que je faisais de la pub à ce parti, la réponse est non. Je doute néanmoins que les considérations précédentes, autant sur l'entourage de la patronne, bien peu éloigné de l'extrême-droite habituelle, que sur l'action sociale assez honteuse de certains de ses maires, aient beaucoup de poids sur l'électorat si la courbe du chômage continue de progresser.