La lettre volée

Notes et idées : Politique, Bandes dessinées, Polars, Media, Actualité, Europe...

Evidence afghane

...Face à ce désastre, les pays occidentaux réagissent, sans imagination, par une augmentation incrémentale de leurs forces, alors même que la présence occidentale est un facteur essentiel du développement de la guérilla...

in Libé du jour, Fin de partie pour les Occidentaux, par Gilles Dorronsoro professeur de sciences politiques à l’université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, spécialiste de l’Afghanistan et du monde turc.
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O
Ce quı est tout de meme nouveau et sıderant, c est qu un bon talıban est un talıban mort. Quqnd le chef d etat major se rejouıt d une raclee ınflıgee aux talıbans (40 morts), personne ne soulıgne l ıgnomınıe du propos. Ca passe. normal, ce sont des ennemıs de la democratıe.et de quı parlons-nous la ? de dangereux mechants mettant la planete en danger, un peu comme le antı heros des James Bond)ou bıen de gosses de 15 ans quı aıment leur terre et leur famılle, leur relıgıon et leur hıstoıre, et dont le crıme est de ne pas accepter une occupatıon etrangere ?Cette guerre a une propagande (la peste ıslamıco terrorıste combattue) et une realıte, une realıte d acıer, de beton eventre, de mouches sur des corps puants.Nos garçons de 20 ans ont ordre de tuer des gosses de 15 ans. Tout est la.Une natıon rıche ecrase des paysans quı n ont rıen.
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L
Désolé Gus, mais je ne vois pas la valeur ajoutée que l'Europe apporterait dans ce boubier. Suiveuse comme elle l'est des Etats-unis, elle continuerait la même politique débile que maintenant.Et donner plus de pouvoirs, surtout de police, aux institutions européennes qui ne sont pas démocratiques, çam'inquiète aussi.
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G
Une autre solution pour la France pourrait être de s'aligner sur le choix européen de se contenter de contribuer à EUPOL, c'est à dire, un projet essentiellement policier, à hauteur du montant qu'elle engage actuellement pour envoyer ses forces spéciales en zone de guerre. Voilà qui aiderait certainement à sécuriser ce qui est sécurisable et laisser au peuple afghan le temps de choisir entre la civilisation telle que nous la concevons et le régime sauce talibane.
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L
Nous n'avons le choix qu'entre la peste et le choléra :- Rester, c'est continuer une guerre très mal engagée. Pas possible à long terme. - Partir, c'est laisser une base départ aux cinglés qui leur a permis de lancer l'attaque du 11 septembre 2001. Pas possible non plus (les cinglés se feront un plaisir de nous faire un piqure de rappel si nous l'oublions). Si je la jouais théorie du complot, je dirais que c'est ce que souhaite l'oligarchie ultra-réactionnaire actuellement au pouvoir en Occident. Avec un ennemi comme les Talibans, ils vont pouvoir jouer au petit soldat pendant un moment et se faire ré-élire sur le thème de la défense de la démocratie et de la patrie en danger...
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